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 Apistogramma cacatuoides ( Apisto cacatois )

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URNAC
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URNAC


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MessageSujet: Apistogramma cacatuoides ( Apisto cacatois )   Apistogramma cacatuoides ( Apisto cacatois ) I_icon_minitimeLun 4 Oct - 7:56

Apistogramma cacatuoides ( Apisto cacatois ) Apisto10
Photo/ Pisciculture stalens (estalens.fr)

Synonyme : Apistogramma U2.
Originaire : Son aire de répartition se situe en Amazonie, principalement au Pérou, mais aussi dans la vaste zone frontalière du Brésil voisin. Il vit dans les petits cours d'eau forestiers où le sol sombre lui permet de se dissimuler aisément. Car, outre les prédateurs aquatiques « classique », n'oublions pas quelques espèces d'oiseaux piscivores particulièrement redoutables.
Description : Il existe plusieurs variétés de coloration chez cet « apisto », fruit du travail de sélection de certains éleveurs ou bien produit de la Nature, conséquence d'une répartition géographique étendue. Sa taille le classe d'emblée parmi les cichlidés nains, puisque le mâle atteint 7 à 8 cm, avec une femelle mesurant la moitié. Des individus atteignent exceptionnellement 12 cm de longueur. Le cacatuoides présente un aspect massif. La couleur du corps varie entre le brun, le gris, avec parfois une dominante verte ou encore dorée suivant les formes, qu'elles soient naturelles ou domestiques. Une ligne longitudinale noire et épaisse, située au milieu du corps, part de l’œil jusqu'au pédoncule caudal. Des marques noires, jugulaires et frontales, sont aussi présentes. À cela s'ajoute un début de bandes foncées verticales, limitées à la base supérieure du dos, ainsi que des rayures horizontales sous forme de lignes pointillées dans la région ventrale. Ces marques sont surtout évidentes chez les femelles, les juvéniles ainsi que les individus stressés. Le mâle possède des extensions filamenteuses sur les nageoires impaires et les pelviennes. De plus, les premiers rayons durs de sa dorsale sont particulièrement allongés, donnant cette apparence de crête qui n'est pas sans rappeler celle qu'arbore le cacatoès ... d'où le nom d'espèce cacatuoides. Les nageoires impaires, principalement la caudale, présentent des ocelles rouges ou oranges entourés de noir. Bien que cette dernière particularité soit attribuée au mâle, on voit des femelles dotées de ces ornements, même s'ils sont moins nombreux et moins éclatants. Il s'agit sans doute là d'un développement exclusif aux formes de sélection.
Dimorphisme sexuel : la femelle reste plus petite et moins colorée que son compagnon, avec une robe blanchâtre. Ses nageoires sont aussi plus courtes, avec une caudale arrondie (alors qu'elle est en forme de lyre chez le sexe opposé). Par ailleurs, le mâle présente des lèvres particulièrement épaisses.
Comportement : Caractère paisible, il peut très bien avoir sa place dans l'aquarium communautaire avec des tétras (s'ils ne sont pas trop petits), Corydoras ou encore Ancistrus, pour ne citer qu'eux. La combinaison avec d'autres cichlidés nains est possible. Mieux vaut éviter la cohabitation avec d'autres espèces du genre Apistogramma, les relations risquent d'être houleuses, vu leur ressemblance, tant sur le plan physiologique que comportemental. Le mâle est polygame et possède un  grand territoire dans lequel évoluent plusieurs femelles 3 à 5 femelles, ayant elles aussi chacune leurs « micro-territoires, d'un diamètre d'une trentaine de cm » (qu'elles se disputent, d'ailleurs). La notion de territoire chez le mâle se résume à écarter tout rival potentiel, et n'autorise aucune tentative d'intrusion. Il impressionne son adversaire en se positionnant au-dessus de lui, nageoires et opercules déployées, tandis qu'il adopte une posture en oblique tout en tressaillant. Cela suffit généralement à dissuader l'intrus, qui, nageoires toutes repliées, file à toute vitesse sans demander son reste. Il est alors poursuivi jusqu'aux limites du territoire. Quelques morceaux de nageoires peuvent être arrachés, mais ceci reste sans gravité aucune... À partir du moment où l'aquarium est suffisamment grand et pourvu en caches diverses. Heureusement, les combats véritables sont rares, la dissuasion prenant le dessus.
Milieu : Contrairement à la majorité des représentants du genre, il provient d'eaux moyennement dures et alcalines il n'est donc pas nécessaire de posséder un osmoseur, ou autre système permettant d'obtenir de l'eau adoucie, pour sa maintenance. Sa présence en bac de type « amazonien » où l'eau est en principe douce et acide, est moyennement conseillée. S'il est vrai qu'il peut tolérer de telles conditions, on constate parfois une certaine fragilité, notamment sous forme de troubles cutanés, avec de plus un mauvais développement chez les jeunes spécimens. Pour une maintenance réussie, le volume de l'aquarium ne devrait pas être inférieur à 150 litres. Dans ce cas de figure, 1 mâle et 4 femelles peut être introduit.  Avec un bac de volume inférieur est que, dans l'hypothèse d'un individu particulièrement hargneux (ce qui arrive parfois même chez ce sympathique cichlidé), les victimes de son harcèlement ne trouveront pas suffisamment de cachettes pour se soustraire à ses attaques. Si les décès imputés à ce type de comportement sont rares, mieux vaut rester prudent et faire en sorte qu'ils ne deviennent pas plus fréquents! Le sol est composé d'un sable fin et de couleur sombre. L'aquarium doit être bien planté, avec par exemple Cryptocoryne beckettii en avant-plan, des plants de Vallisneria au fond, tandis que des pieds d'Anubias ou de Microsorum pteropus pourront orner les diverses racines présentes. Quelques plantes en brins supportant bien une eau mi-dure peuvent aussi être adjointes, telles que Ceratophyllum demersum ou encore Hygrophila polysperma. La surface peut être tamisée à l'aide de Salvinia. Ces plantes flottantes doivent voir leur population sérieusement régulée, sous peine d'une invasion qui gênerait les végétaux en dessous. Outre les racines, des morceaux d'ardoise, empilés de manière à créer quelques grottes, sont aussi les bienvenus. La température de l'eau se situe aux alentours de 24 à 26°C, même si une eau légèrement plus chaude est bien supportée, une Dureté de 10°dGH, et un pH avoisinant les 7. La filtration doit être puissante et efficace, sous peine de graves problèmes. En effet, si cette espèce peut être considérée, tout est relatif, comme « robuste », il faut assurer une hygiène parfaite de l'aquarium. Elle se révèle particulièrement sensible à la pollution. Des changements d'eau hebdomadaires de 20 à 25 % du volume (valeurs indicatives) sont nécessaires afin d'éviter des conséquences dramatiques.
Reproduction : Si certains cichlidés nains pondent très volontiers en aquarium communautaire, ce n'est pas trop dans l'habitude de notre « apisto », qui préfère bien souvent un bac spécifique, plus intimiste. Introduire un mâle pour trois femelles dans un aquarium de reproduction comporte plusieurs inconvénients. Cela signifie un volume plus important qui, lui-même, entraîne des complications pour la distribution de la nourriture destinée aux alevins. Sans parler des relations entre les femelles qui passent alors leur temps à se disputer le territoire ou leurs jeunes (avec parfois des cas de prédation) ! Mieux vaut introduire sur un seul couple par bac de reproduction, dans un volume entre 30 et 50 litres, en n'oubliant pas que les jeunes alevins auront ensuite besoin de plus d'espace pour grandir. L'aménagement est classique, incluant chauffage et filtration, mais avec un effort sur la disposition du décor. Ainsi faut-il prévoir des amoncellements de roches créant de petites anfractuosités. Elles seront utilisées par la femelle comme site de ponte et serviront de « dortoir » pour les alevins. Un pot à fleur est tout aussi efficace, et évite des« éboulements » toujours possibles. Le sable n'est pas vraiment nécessaire; au contraire, son absence permettra un meilleur siphonage des déchets. La température sera stabilisée entre 25 et 27°C. Quant à la qualité de l'eau, on essayera de s'approcher de valeurs moyennes, c'est-à-dire avec un pH neutre (7,0) et une dureté comprise entre 10 et 15°dGH. Des paramètres plus élevés ne sont pas gênants du moment que l'on évite les excès (pH jusqu'à 7,5 et dureté pouvant atteindre une vingtaine de degrés dGH). On laissera ensuite tourner l'aquarium tel quel durant  trois semaines (suivant la longueur du cycle de nitrification) avant l'introduction des futurs géniteurs.
Les signes indiquant une ponte imminente se traduisent principalement par la modification du comportement de la femelle : elle n'hésite alors plus à tenir tête au mâle, allant jusqu'à le provoquer, ce qui, bien sûr, fait partie du jeu de séduction. De plus, elle entamera l'exploration de toutes les cavités disponibles, afin de sélectionner celle qui servira d'abri pour les œufs, cette espèce pondant sur substrat caché. Le mâle reste en-dehors de ces préparatifs, paradant de temps en temps lorsque la femelle le rejoint. Le nettoyage du site de frai, est effectué uniquement par la femelle qui assurera l'essentiel des soins, cette action n'a lieu que quelques heures avant la ponte. Celle-ci se déroule entre la fin de matinée et le milieu d'après-midi. Une série de quelques œufs bruns-rouges est déposée sur la partie supérieure de l'abri par la femelle, le mâle les fécondant de suite après. En fonction du site choisi, il arrive que le mâle ne puisse pénétrer dans la cavité; il féconde alors les œufs à distance avec une grande efficacité. La ponte dure en moyenne une heure, suivant la quantité totale d’œufs déposés. Leur nombre est très variable, oscillant d'une vingtaine à une centaine d'un frai à l'autre, et ce malgré des conditions de maintenance identiques (température, qualité d'eau, nourriture, etc.). Il arrive quelquefois, alors que le bac est truffé de refuges, que les poissons décident de frayer à découvert. Cette réaction aberrante ne compromet toutefois en rien l'avenir des embryons. Les premières pontes peuvent être dévorées par la femelle, ou à l'occasion par le mâle qui n'hésite pas à expulser sa partenaire du refuge (ce fait est plus rare, la seule solution est de le retirer dès la fin de la ponte, d'autant plus qu'il peut blesser sérieusement sa compagne). Lorsque les premières pontes sont détruites; cela arrive, mais jamais une femelle dévore les œufs à long terme; seule la patience prévaut dans ces cas-là. D'autant que les poissons pondent à intervalles réguliers d'une dizaine de jours. Lorsque le frai est terminé, le mâle est tenu à distance respectable par la femelle. Si le bac est trop exigu ou dépourvu de cachettes suffisantes, mieux vaut le retirer avant qu'il ne soit abîmé. Les couleurs de la femelle ont changé: les bandes noires qui paraissaient jusqu'alors un peu ternes sont particulièrement intenses, tandis que le corps prend des reflets jaunâtres.  Au bout de 48 heures, les œufs ont éclos : les larves, dotées de leur sac vitellin et incapables de nager, sont alors transportées d'un endroit à l'autre par leur mère. Ce comportement n'est pas sans raison : certains prédateurs décelant leurs proies à l'odorat, les pistes sont alors multipliées par ce stratagème, offrant ainsi plus de chances aux alevins de ne pas être repérés de suite. Durant toute cette période où les larves sont particulièrement dépendantes, il est difficile de les apercevoir. Bien qu'il arrive que, sans raison apparente, la femelle expose sa progéniture au grand jour! Néanmoins, il nous faudra souvent patienter cinq jours avant que, enfin, les alevins nagent librement et daignent sortir de leur abri en quête de nourriture. C'est à ce moment que la femelle présente sa plus belle apparence: sa robe est maintenant jaune citron, contrastant fortement avec les marques noires qui ornent son corps. À noter la présence d'une tache noire sous la lèvre inférieure : signe distinctif qui, combiné aux pelviennes, est probablement destiné aux alevins qui reconnaissent leur mère lorsque celle-ci se positionne au-dessus d'eux. Les jeunes restent près du substrat les deux premiers jours, avant de s'aventurer à quelques centimètres au-dessus du sol. Une fois la nage libre atteinte, il est temps de commencer à nourrir ce petit monde. Si les alevins sont déjà de taille à avaler des nauplies d'Artémias, il faut quand même le déconseiller pour les premières 48 heures. En effet, des problèmes digestifs surviennent alors, entraînant de nombreuses pertes. II est préférable de commencer par d'autres petites proies vivantes ou, tout simplement, par de la nourriture sèche finement pulvérisée prévue à cet effet. On constate alors une diminution conséquente du taux de mortalité. C'est au troisième jour que les nauplies pourront être distribuées avec parcimonie. Le ventre des alevins ne doit jamais être très gonflé, sous peine de nouveaux problèmes. Mieux vaut nourrir en petite quantité, mais souvent. Durant les quinze premiers jours de leur vie, la coloration des alevins ressemble à une tenue de camouflage. Ils deviennent de plus en plus actifs, toujours surveillés par leur mère, et n'hésitent pas à explorer tout le bac. Celle-ci essaye alors de les regrouper, avec plus ou moins de succès. On constate que les alevins sont moins fréquemment pris en bouche que chez certains cichlidés. Ainsi, les jeunes sont principalement guidés par les mouvements et postures de leur mère, interprétés comme des signaux d'alarme ou de rassemblement. Vers la cinquième semaine, les couleurs de la femelle s'atténue, la garde est de moins en moins assurée. Les juvéniles commencent à prendre l'apparence de leur mère et c'est aussi le début des chamailleries entre frères et sœurs. II est temps de les transférer dans des aquariums plus grands et de les trier par taille, afin que les plus petits aient la chance de grandir sans souffrir de la concurrence des plus grands. Lorsque le mâle est laissé dans le bac de reproduction en compagnie de la femelle et des jeunes, des comportements différents sont observés suivant les cas. II reste toujours à bonne distance de la progéniture, sinon gare aux représailles, mais peut quelquefois ramener des alevins égarés au nid. II peut aussi tout bonnement ignorer ce qui se passe. II faut aussi mentionner qu'en présence du mâle, la femelle peut pondre de nouveau, et qu'elle n'hésite alors pas à tuer sa portée précédente pour faire place nette.
Nourriture : Pas difficile quant à la nourriture, du moment qu'elle est à base carnée (Puces d'eau, Cyclops, Larves de moustiques, Tubifex). Ainsi, les repas pourront être constitués des aliments classiques, secs ou congelés. Malgré sa grande taille, le krill est aussi accepté, même par les femelles, pourtant petites. Des proies vivantes pourront compléter le menu, ainsi qu'un supplément végétal qui est accepté volontiers.
Particularités : Très sensible à la pollution de l'eau et aux médicaments comme les fongicides pour protéger les œufs contre les moisissures.
Taille : Mâle 8, femelle 4 cm
Eau : pH: conseillé 7 à 7,5. Dureté : conseillé 10 à 15°dGH.
Température : 24 à 26°C.
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